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Mi Alma
Mon Âme
My Soul

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Je suis née et a grandi au Surinam, (ancien Guyane Néerlandaise) d’une mère Porto Ricaine et d’un père Néerlandais. 

J'ai vécu sur plusieurs continents dans différents pays et vis depuis 1990 à Saint Didier au Mont d’Or dans le Rhône (69) en France. Je parle quatre langues.

Mon parcours professionnel, très varié, a toujours été guidé par le contact avec d’autres personnes. 

La peinture s’installe dans ma vie lorsque une amie artiste me dit qu’elle me voyait peindre. Cette vision se concrétise en 2002.

A la suite d’une formation chez Jean-Jaques Tarare à l’École d’Art et Arts Appliqués de la ville de Lyon, cette passion s’amplifie.

Jamais de croquis, jamais d’idées préconçues concernant le sujet à peindre, Je mes suis laissée toujours guider par une force supérieure que je maîtrise pas, mais qui m’anime.

Dans mes oeuvres beaucoup de couleurs, de mouvements et souvent des images (interpretations) de la jungle amazonienne font danser mes toiles.

Ma peinture est un reflet de mon âme.

Mon nom de jeune fille est Ziel, en Néerlandais cela veut dire « âme ». Âme en Espagnol se traduit par alma. Je signe mes toiles avec mon nom de jeune fille: Ziel. 

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Mes premiers cours se déroulaient dans une salle de la commune, animés par une artiste peintre. Comme j’y ai vite pris goût, je voulais aller plus loin. J’ai donc contacté l’École des Beaux Arts de Lyon pour avoir des renseignements. On m’a suggéré d’aller à l’École d’Art et d’Arts Appliqués de la ville de Lyon, qui propose des cours du soir pour les adultes.

Le jour de l’inscription j’avais rendez-vous pour déjeuner avec une amie en ville et je pensais aller m’inscrire avant ce déjeuner.
A mon arrivée il y avait beaucoup de monde devant moi… et j’ai pensé qu’il me serait impossible de m’inscrire donc je suis partie.

Sur la route du retour j’ai appelé l’Administration de l’École pour demander s’il y avait encore de la place. On m’a dit de venir.

J’ai été accueillie par un bel homme qui m’a demandé s’il pouvait me renseigner.
Je lui expliquais que je cherchais un pédagogue pour apprendre des techniques et des règles de l’art sans m’imposer son style.
« Oooh, c’est Jean-Jaques Tarare mais malheureusement ses cours sont toujours les premiers remplis. »
A ce moment-là j’entendis une voix de l’autre coté de la salle qui disait: « Il me reste une place chez Monsieur Tarare ». Je lui répondis « c’est la mienne ».

Le premier jour il fallait emmener une oeuvre déjà faite ainsi que nos propres outils, toiles et peinture.
J’avais fait un petit tableau à partir d’une photo que j’avais prise d’un champ et j’étais super fière parce qu’elle rendait bien sur la toile.

Monsieur Tarare m’a dit que ce n’était pas bien du tout…
J’avais utilisé différents styles sur la même toile et q’un tableau n’était pas une photo.

Au départ c’était très difficile de comprendre son langage, je ne saisissais pas que qu’il voulait dire. Petit à petit j’appris ce langage et avec ses conseils, mon audace, et ma persévérance, j’ai vite compris comment m’exprimer sur une toile dans les règles de l’art.

Monsieur Tarare nous a expliqué comment tendre et préparer nos propres toiles. Il nous conseillait d’utiliser des grosses brosses, pas de petits pinceaux. 

J’ai commencé par mettre plein de petits points de partout sur la toile. Après séchage, une autre couche dans une autre couleur, ensuite une autre et une autre. Comme je travaillais à l’acrylique au début, les couches se séchaient rapidement. Quand c’était tout rempli j’ai demandé ce qu’il fallait faire ensuite. Il m’a dit d’aller chercher quelque chose dedans et de le faire sortir. Il y avait toujours des arbres…
J’ai quelque chose avec les arbres…

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Assez rapidement le désir d’aller plus loin s’installa en moi et je fis des essais avec d’autres outils. Monsieur Tarare que j’appelais « le chef » maintenant, me suggèra de tirer la bande de gaze après l’avoir trempée dans la peinture sur la toile. Oooh quelle bonne idée! La créativité n’arrêtait plus et je partais comme une fusée. 

Après deux ans de cours, « le chef » nous annonça qu’il partait à la retraite. Quand je lui ai demandé comment j’allais faire sans lui, il me répondit que je n’avais plus besoin ni de « chef », ni de « prof ».

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